Atlantic Soir (1ère partie)
- Tout
- Enseignement
- Politique étrangère
- Politique
- divers
- Sport
- International
- Politique Internationale
- Monde
- Santé
- Economie
- Social
- Justice et droit
- Energie
- Consommation
- Art et culture
- Immobilier et foncier
- migration
- Emploi
- Transport
- Entreprise
- Inflation
- Pharmacie et produits pharmaceutiques
- Gouvernement
- Infos et actualité
- Géopolitique
- Agriculture
- Droits de l'Homme
- Tourisme
- Tourisme national
- Automobile
- Innovation
- Chimie et parachimie
- Energie
- Affaires commerciales
- Urbanisme
- Education
- Nouvelles technologies
- Pêche
- Climat et environnement
- Finances-banques
- Séisme
- Maroc
- FMI
- Aviation
- palestine
- Israël
- guerre
- Agroalimentaire
- grève
- Impôt et fiscalité
- Société
- Industrie pharmaceutique
- immigration
- Médecine
- Tourisme
- Corruption
- chômage
- Industrie
Tout le monde se souvient du message publié par le palais de l'Elysées à Paris. "Emmanuel Macron effectuera une visite d’État pour sceller la relance de la relation bilatérale après une longue période de froid", fin de citation. Pour beaucoup d'analystes et d'observateurs politiques, ce serait les 29 et 30 octobre prochains, une période conforme à la lettre d’invitation adressée par SM Mohammed 6 au chef de l’État français. Le Souverain se dit convaincu que cette visite sera "l’occasion de conférer au partenariat bilatéral d’exception une vision renouvelée et ambitieuse dans plusieurs secteurs stratégiques". Avec nous au bout du fil, nous sommes avec Driss Aissaoui, analyste politique. Au delà de l'aspect politique et diplomatique des enjeux, la dimension économique est loin d'être négligée. Avec nous, Mme. Boutaina Bensalem, professeure d'histoire et de sciences politiques à l'université Soltane Moulay Slimane de Beni-Mellal .
C'est le premier rapport du genre dans le second mandat du Conseil Supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche Scientifique l’institution. La période est de 2022 à 2027. Ce document est présenté au lendemain de la pandémie du Covid-19, du séisme d'el-Haouz il y'a un an et les mouvements de grèves successives du corps enseignant dans le secteur public. L'école marocaine en crise. De l’empilement des réformes à la situation précaire des enseignants, en passant par les grèves continues des enseignants. On en parle avec Hassan Esmili, ancien Directeur du pôle Etudes et recherches au Conseil supérieur de l'éducation et ancien doyen fondateur de la faculté des lettres et des sciences humaines de Ben-Msik.Pourquoi ça ne décolle toujours pas ? C'est ce que va nous dire Ali Daoudi, membre du Bureau national de l'enseignement, affilié au syndicat CDT.
Lancée hier à Rabat avec beaucoup de solennité, la Stratégie nationale est appelée à booster l'économie numérique de notre pays au cours des prochaines années. Il est ainsi promis la création de 240.000 emplois directs à la clé et de placer notre pays dans le club restreint du "numériquement productif". Cette stratégie, lancée par le ministère de tutelle, en présence du Conseiller de SM le Roi, André Azoulay, et de nombreux membres du Gvt. Nous sommes avec Latifa Ayeb, Expert en digital au ministère de la transition numérique et de la réforme de l'administration. Il est question de positionner le Maroc parmi les pays les plus influents dans ce domaine. Nous détaillons également les promesses du digital avec Driss Rouah, Expert en cybersécurité.
Rien ne bouge, pour le moment. "Il ne faut jamais agir dans la précipitation, sous peine de devoir rectifier brusquement le cap par la suite". Paroles de sagesse mardi dernier à Rabat du Wali de Bank al-Maghrib. Aussi, par prudence, il a été décidé de ne rien... décider. Le Conseil a en effet jugé bon de maintenir le taux directeur inchangé à 2,75%, tout en continuant à surveiller l’évolution de la conjoncture économique et sociale. Aussi, par prudence, il a été décidé de ne rien... décider. Abdellatif Jouahri juge en effet la conjoncture économique fragile et incertaine. Pour en parler, nous sommes avec AbdelAli Boutayba, analyste économique. Nous sommes aussi avec Zaher Badr al-Azraq, chercheur en droit des affaires et en économie.
La récurrence du phénomène climatique, ainsi que les risques d'autres catastrophes naturelles comme le séisme d'al-Haouz, doivent désormais être prises en considération, tant par les pouvoirs publics que par la population. Apparaissent alors dans le langage familier des expressions comme "Zones sinistrées".
Ces dernières semaines, les événements climatiques extrêmes se sont enchaînés, et déchaînés, laissant derrière eux des habitants sinistrés et bien souvent désemparés. Alors, évidemment, se pose la question du foncier dans un environnement inadéquat à tout plan d'urbanisme. Pour en parler, nous sommes avec Abderrahim Ksiri, Pdt. de l'Association des enseignants des sciences de la vie et de la Terre.
Pour continuer à parler de ce sujet sous son aspect légal et juridique, nous sommes avec AMohammed-Karim Sbai, président de l'Ordre des architectes pour la région de Casablanca.
Vous avez dû certainement les rencontrer les bras chargés de documents et de tablettes, les voir sonner dans des résidences, vous avez dû aussi les recevoir chez vous. Ce sont les 55.000 agents de terrains déployés depuis le 1er Septembre pour recueillir les informations nécessaires dans le cadre du recensement général de la population et de l’habitat jusqu'à la fin du mois. Il en est ainsi tous les 10 ans. Cette année, l'opération a une importance particulière avec l’introduction d'innovations technologiques et méthodologiques. Au cœur de ce dispositif, le Haut Commissariat au Plan. Nous sommes avec Mohammed Mghari, Directeur régional du HCP au niveau de Rabat-Salé-Kénitra.