Retrouvez Chaïb Hammadi du lundi au vendredi, de 17h15 à 19h.
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2h de débats ouverts et de réflexions approfondies sur les faits du jour, l'évolution sociale vue par des acteurs associatifs et les soubresauts d'un monde en constante évolution expliqués par des observateurs politiques.
Retrouvez le Best-of de la semaine, chaque samedi de 17h à 19h.
Le Centre islamique pour le développement du commerce et l'agence de Promotion des investissements en Mauritanie (APIM) organisent l'événement ICDT Invest Days les 15 et 16 mars dans la capitale mauritanienne Nouakchott.
Signes du temps, effet de mode, regain de liberté, désir d'indépendance ? Pour les divorces, la tendance est à la hausse au cours des dernières années. C'est l'hécatombe. En 2021, un mariage sur 3 a fini en divorce rapide. Le nombre de divorces Depuis la réforme du Code de la famille (en 2004) le nombre s’est multiplié par 8. Comment expliquer objectivement le phénomène ? On en parle avec Laila Majdouli, co-fondatrice et secrétaire générale de l'Association Solidarité féminine. Egalement avec nous, Maître Fatim-Zahra Chaoui, avocate au Barreau de Casablanca et Pdte. de l'association marocaine contre la lutte faire aux femmes.
Face à l’urgence de réformer le système des retraites, le processus de concertations entamé depuis plusieurs mois entre le Gvt., le patronat et les syndicats se poursuit non sans mal. Une première copie doit être rendue publique dans les jours qui viennent alors que plusieurs caisses connaissent déjà un «déficit technique». Le défi reste aussi de trouver «des sources de financement innovantes et adaptées». Avec nous pour bien situer l'état actuel des discussions, Abdelfattah el-Baghdadi, membre de la Commission de négociation à la CDT et administrateur au sein du conseil d’administration de la CNSS.
Il en est ainsi à chaque période de vacances. Celle qui commence aujourd'hui, et pour une semaine, se nomme Vacances scolaires pour le 2ème semestre. Avec ce que cela entraine d'opportunités de faire une pause pour certains, de voyager pour d'autres. Et pour cela, tous les moyens de déplacements sont bons. Celui qui nous intéresse pour l'occasion est l'automobile, ce qui nous renvoie à l'énorme mobilisation engagée en pareille occasion par les responsables de la société des Autoroutes du Maroc. Nous sommes avec Younès Mounji, directeur Exploitation auprès de l'ADM.
On s'y attendait un peu. La Cour des comptes recommande de passer à la vitesse supérieure pour mettre à niveau les différentes structures de soins au Maroc. Aussi bien la disponibilité que la qualité de l’offre de soins doivent être améliorées dans le secteur public. Et les Sages de s'appuyer sur la loi-cadre 6.22 quant aux objectifs à atteindre pour réformer en profondeur le système hospitalier. On en parle avec le docteur Said Afif, Pdt. de la société marocaine des sciences médicales, société savante faut-il le préciser.
Nous sommes le 8 mars, et automatiquement cette date renvoie à l'image de la femme, à travers son combat de longue haleine, pour son émancipation, sa liberté de mouvement, sa revendication d'égalité avec l'homme son compagnon de toujours. Certains appellent cela "Féminisme" quand d'autre qualifie le mouvement de "Caus juste". Le débat est ouvert avec Sarah Benmoussa, fondatrice du mouvement "Hachak". Nouzha Skalli, ex-ministre du Développement social, de la Famille et de la Solidarité et militante des droits de la femme.
C'est écrit, noir sur blanc, dans la Constitution. De ce fait, l'article 31 engage l'Etat à mobiliser tous les moyens à sa disposition pour permettre l'égal accès des citoyennes et des citoyens au travail. Et entre ce qui est dit et ce qui est fait, nous en parler avec Khadija Janati, entrepreneure, spécialiste des relations Media et affaires publiques, et Pdte. de l'association ESPOD. Avec nous aussi Khadija Rebbah, membre du l'Association démocratique des femmes du Maroc.
À l'approche de la journée internationale des droits des femmes, les interrogations se multiplient sur le risque d'une instrumentalisation de la religion dans le débat sur la réforme du Code de la famille en pratique depuis 2004. Ils sont nombreux à mettre en garde contre des arguments à dimension idéologique destinés à induire l’opinion publique en erreur. Nous allons en parler avec madame Saida Idrissi, militante féministe et dans l'action associative. Le sociologue Mohcine Benzakour est également avec nous.
Le grand pas en avant pour transformer le Maroc de pays de transit migratoire en pays de séjour. Cette expérience, qualifiée de "pionnière," a été rappelée hier soir par le porte-parole du Gvt. La question était posée à la lumière des inquiétudes exprimées en Tunisie par les migrants subsahariens. Le 21 Février dernier, le Pdt. Qaïss Sayed dénonçait ce qu'il considère comme un complot pour « transformer la composition démographique de la Tunisie ». Et depuis, la peur s'est installée, beaucoup d'étrangers cherchent à quitter la Tunisie. Cette montée de la xénophobie s’inscrit dans un contexte de durcissement de la politique migratoire en Europe. Franck Iyanga, Secrétaire général de l'Organisation démocratique des travailleurs immigrés au Maroc. Avec nous aussi, Oussama Chakour, Coordinateur auprès de l'Allianza por la Solida-Ridad, association dont le siège se trouve à Madrid en Espagne.
De nouveaux programmes de coopération éraient conclus hier par Rabat et Bruxelles. Le Commissaire européen chargé du voisinage et de l’élargissement, Olivér Várely s'est déplacé en personne au Maroc dans cette optique. 5 programmes pour 5,5 milliards de DH destinés à donner un coup de pouce aux grands chantiers en cours. Cela concerne la protection sociale, l'environnement, la réforme de l'administration publique, le dossier migratoire et l'inclusion financière. Décryptage de cette initiative à caractère économique et non moins à portée politique, à la lumière des rapports actuels entre les 2 parties, avec Mohammed Chtatou, analyste politique.
Ce ne sera qu'un mauvais souvenir. Le Gvt. met fin, de facto, à l'état d'urgence sanitaire. La mesure était imposé depuis près de 3 ans pour combattre la pandémie Covid. Renouvelée périodiquement depuis le 24 mars 2020, elle n'a pas été prolongée au-delà du 28 février. Son cadre juridique accordait aux autorités toutes latitudes de prévention dans ses prises de mesures exceptionnelles, économique, financière, sociale ou environnementale, pour en finir avec la propagation du Coronavirus. Le Docteur Said Moutawakkil, membre du Comité scientifique et technique national est avec nous.