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Les rumeurs d'une normalisation des relations entre Rabat et Téhéran s'intensifient ces derniers temps. Les plus optimistes évoquent même la possibilité de renouer officiellement les relations diplomatiques après six années de rupture. Une projection qui intrigue, tant les différends entre les deux pays sont profonds, allant du soutien iranien au Polisario à des accusations de prosélytisme chiite sur le territoire marocain. À cela s’ajoute l’influence croissante de l’Iran dans la région sahélienne, perçue comme une menace stratégique par Rabat. Si des rencontres secrètes auraient eu lieu sous la médiation de Riyad, plusieurs conditions auraient été posées par le Maroc pour envisager un rapprochement. Mais au-delà des négociations, une question demeure : peut-on vraiment faire confiance au régime des Mollahs ?
Hassan Alaoui, Directeur de publication de Maroc Diplomatique
Jawad Kerdoudi, président de l'IMRI
Aujourd'hui, nous tentons de comprendre ce phénomène, de décrypter les enseignements de sa campagne électorale et d’évaluer ce que cette fascination révèle sur l’opinion publique au Maroc, avec :
Aujourd’hui, gros plan sur un sujet aux répercussions géopolitiques
majeures. Alors que le dossier du Sahara marocain reste au cœur des
priorités diplomatiques du Royaume, un développement pourrait bien
bouleverser les équilibres régionaux et internationaux. Des signaux
récents en provenance de Pékin laissent entrevoir une possible
reconnaissance chinoise de la souveraineté du Maroc sur le Sahara. Une
visite non officielle du président chinois Xi Jinping au Maroc, chargée
de symboles, pourrait être le prélude à un tournant stratégique. Alors,
la Chine s’apprête-t-elle à s’aligner sur la position marocaine ? Quels
en seraient les enjeux pour le Maroc et pour la diplomatie mondiale ?
Le projet de loi de finances pour l’année 2025 a été adopté vendredi dernier par la Chambre des représentants avec 171 voix en faveur, 56 contre et une abstention. Lors de cette séance, le ministre délégué chargé du Budget a souligné l’importance des Hautes Orientations Royales comme fondement de ce budget. Ces orientations guident les priorités gouvernementales notamment la poursuite du développement, l’amélioration des conditions sociales et la gestion responsable des ressources naturelles. Fouzi Lekjaa a également mis en avant la diversification économique comme moteur de la création d’emplois, une initiative clé du nouveau modèle de développement. Est-ce vraiment le cas ? Au-delà du nouveau barème de l'IR, quelles sont les innovations fiscales de cette loi de finances ? Peut-on, à la fois, comme l'affirme le gouvernement, mobiliser les ressources financières nécessaires au chantier de l'Etat social, soutenir l'investissement public, accompagner les TPME et stimuler l'emploi ? Enfin, comment interpréter le régime fiscal "spécial" accordé à la FIFA dans ce budget ?