Atlantic Soir (2ème partie)
- Tout
- Economie
- Politique
- Social
- Art et culture
- Politique étrangère
- divers
- International
- Politique Internationale
- Urbanisme
- Tourisme
- Nouvelles technologies
- Energie
- Internet et réseaux sociaux
- migration
- Retraite
- Environnement
- Consommation
- Régime alimentaire
- Nutrition
- Santé
- Enseignement
- Education
- Presse
- Agriculture
- Chimie et parachimie
- Protection de l'environnement
- Infos et actualité
- Finances-banques
- Climat et environnement
- Pêche
- Séisme
- Maroc
- Gouvernement
- Tourisme national
- Tourisme
- Inflation
- Transport
- Aviation
- Société
- palestine
- Israël
- guerre
- Proche-Orient
- Hamas
- Pêche
- Politique gouvernementale
- Impôt et fiscalité
- Agroalimentaire
- Cinéma
- immigration
- Musique
- grève
- Investissement
- Energie
- Audiovisuel
Direction la ville du Détroit, Tanger la blanche, où il n'est question que de ces 4 mineurs arrêtés pour leur implication directe dans l’agression sexuelle d'une jeune fille. La semaine dernière, ces individus l'avaient agressé en plein public, en essayant de la dénuder en ayant recours à la violence. Interpellé, le groupe a été présenté devant le Procureur du Roi au Tribunal près la cour d’appel de la ville du détroit. L'agression a été brutale en pleine corniche en bord de mer. Nous sommes avec Maître Fatim-Zahra Chaoui, avocate au Barreau de Casablanca. Le tout, filmé et diffusé sur les réseaux sociaux, ce qui rajoute de la gravité à cet acte. Plusieurs associations se portent parties civiles. Nous sommes avec Saida Idrissi, Pdte. de l'Association marocaine de lutte contre la violence à l'égard des femmes
Publiée Mercredi par le ministère de l’Education, l'évaluation révèle des résultats prometteurs. Il ne reste plus qu'à généraliser cette approche nouvelle à grande échelle à travers le pays. Mais l'autre défi, de plus grande taille, est de combler le vide actuel en matière de déficit des enseignants. Le phénomène n'est pas propre au Maroc et concerne beaucoup de pays à travers le monde. Nous sommes avec Abdennacer Ennaji, expert en éducation et président de la fondation Amakin pour l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
C'est une grande lacune au moment où le domaine de l'Education est en pleine restructuration. Reste à savoir si le phénomène touche aussi l'enseignement supérieur et la recherche. Question que l'on posera à Hicham Sebti, docteur en management de l'université de Paris-Dauphine, directeur-adjoint de l'Essec-Business School Campus Afrique.
Depuis le début de cette semaine, et jusqu'à la fin du mois, l'actualité ambiante internationale sera marquée par la 79ème Assemblée générale des Nations unies. Ce rendez-vous planétaire réunit chaque année, pour quelques jours, tout ce que la planète compte de hauts dirigeants. Chaque personnalité met en avant les enjeux politiques, diplomatiques, voire militaires à l'échelle régionale ou internationale. Dans sa déclaration au nom du Royaume du Maroc à la tribune, le chef du Gvt. Aziz Akhannouch a rappelé les constantes nationales à propos du dossier du Sahara: A savoir qu'aucun processus politique n’est possible en dehors des tables rondes définies par les Nations Unies, avec la pleine participation de l’Algérie, et ni de solution en dehors du cadre de l’initiative marocaine d’autonomie. Nous sommes avec Lahçen Aqartite, chercheur, analyste en géopolitique. Des déclarations à très forte intensité que nous abordons également avec Mohammed Chtatou, chercheur et analyste en géopolitique.
Nous nous interrogerons sur le rôle de l'ONU, cet obscur organisme censé veiller sur le bon fonctionnement de l'ordre mondial. Comme ils le font chaque année à pareille période, les dirigeants de la planète se rendent tous ensemble au siège de cette institution à New York. Leurs interventions à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies se feront dans un contexte à haut risque pour la paix et la stabilité mondiale à la lumière des guerres au Proche Orient et au cœur de l'Europe. Rarement l'ONU n'aura montré sa faiblesse à régler ce genre de crise quand elles sont d'ampleur.
Recherche solutions désespérément... Le Gvt. entend y apporter les réponses à certaines questions devenues endémiques avec le temps, surtout celles posées par les étudiants en médecine et pharmacie. Jusque là, les syndicats représentatifs se montrent assez réticents aux propositions soumises. En Juillet dernier par exemple, infirmiers et techniciens de la santé suspendaient leur mouvement de grève de 5 jours après la signature d’un accord social avec le Gvt. Pourtant, la crise perdure. Nous sommes au bout du fil avec le docteur Jaâfar Heikel, Professeur de Médecine Spécialiste en Maladies Infectieuses.
Pour parler du versant socioéconomique de ce bras de fer, nous sommes avec AbdelAli Boutayba, analyste économique.
Attention à l'addiction à l'outil informatique et aux fausses promesses. Experts et responsables associatifs tirent la sonnette d'alarme sur les méfaits qui en découlent en cas de déficit de surveillance parentale. Au Maroc, pratiquement, un jeune sur 2 consacre jusqu'à 5 heures de son temps par jour sur les plateformes sociales. Ce qui met en lumière la place imposante des différents sites électroniques dans leur quotidien. Nous sommes avec le sociologue Driss Ait el-Hou. Les experts et les sociologues en sont à alerter les pouvoirs publics sur les nuisances avérées d'une pratique aux conséquences non encore évaluées, à moyen terme, à sa juste valeur. Avec nous aussi, Tariq Akdim, économiste, Pdt. du club Logos et membre de l'association Jeunes du 21ème Siècle.
Telle est la sentence des experts du groupe de réflexion américain WRI. Leur dernier rapport publié à ce sujet est sans appel. De grosses difficultés sont à craindre dans certaines régions d'Afrique subsaharienne, d'Amérique du Sud ou du Sud-est asiatique. Que faut-il déduire du contenu de cette étude ? On en parle avec AbdelAli Sebbar, vice-Pdt. de l'Organisation mondiale de la climatologie. Pour en parler, nous sommes aussi au bout du fil avec Aziz Fekkaki, Pdt. de l'Association des jeunes du 21ème siècle pour le développement durable.
La réponse est celle-ci: l'écrivain et auteur de romans et de poésies, la chanteuse et pianiste, le compositeur et trompettiste de jazz et la meneuse de revue sont tous Américains. Sauf que, ces grands artistes du 20ème siècle, Noirs de peau, ont, pour une raison ou pour une autre, et à un moment donné de leur existence, fui leur pays pour choisir définitivement la France comme point de chute. Si, aujourd'hui, la tendance est contraire, les intellectuels européens font tendance du territoire américain une sorte de Terre promise, il faut rappeler que c'était tout le contraire durant ce qui s'apparentait aux années de plomb aux Etats-Unis. C'est cet aspect historique, pour le moins étonnant, qu'a étudié la journaliste, écrivaine et romancière marocaine Yasmina Jaâfar, à qui l'on doit l'ouvrage: "Ils ont choisi la France".