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2h de débats ouverts et de réflexions approfondies sur les faits du jour, l'évolution sociale vue par des acteurs associatifs et les soubresauts d'un monde en constante évolution expliqués par des observateurs politiques.
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La traque des influenceurs. Le Gvt. intensifie ses communications avec les YouTubers et influenceurs marocains percevant des revenus, notamment de l’étranger, pour les sensibiliser à l’obligation de respecter les lois sur le contrôle des changes. Si les premières lois sur la création de contenus apparaissent en Europe, au Maroc, il n'existe encore aucune définition juridique de cette pratique. Droits et obligations des influenceurs, protection du consommateur et taxation des revenus générés… Voici les principaux éléments que nous traiterons avec AbdelAli Boutayba, analyste économique. Cela dit, plusieurs textes du droit marocain régissent certains aspects de l’activité d’influenceur. Il s’agit notamment du Dahir des obligations et des contrats, de la loi 09-08 sur protection des données personnelles ou encore la loi 53-05 relative à l’échange électronique de données juridiques. Yasmina Belahsen, responsable de Maya Agency, experte digitale.
Le forum international achève ses 4 jours de travaux avec pour thème cette année: "Souverainetés et Résiliences : vers un nouvel équilibre mondial. Plus de 250 intervenants, dont des chefs d’Etat et de Gvt., des décideurs politiques, des dirigeants de grandes entreprises internationales devant plus de 6.000 participants venus d’une centaine de pays. Souveraineté et résilience : vers un nouvel équilibre mondial. Un thème mis en avant par la croyance en la capacité des nations à définir leurs propres destins et à inverser les défis, voire même, les transformer en opportunités. Pour en parler, depuis la capitale du Détroit, nous sommes avec Ali Benjelloun, administrateur de l'Institut Amadeus. Le rôle des ressources humaines dans le développement de l'Afrique est fortement souligné à ce forum annuel, ainsi que la mise en place de véritables politiques publiques pour inciter les jeunes à contribuer à l'émancipation de l'Afrique. L'une des voies largement préconisées est celle de l'économie numérique nous dit de son côté Jawad Kerdoudi, Pdt. de l'IMRI, Institut marocain des relations internationales.
Ils étaient 500, venus du monde entier, à prendre part en fin de semaine dernière à Marrakech, à participer à la Conférence organisée par la plateforme onusienne "Future we want", le futur que nous voulons. Et ce futur voulu a été décliné sur des thèmes très variés mais d'actualité comme le dossier Sahara, le changement climatique, la protection civile en zones de conflit, les implications et responsabilités légales d’un adulte dans ces crises. Vaste programme que nous analysons avec Jawad Kerdoudi, Pdt. de l'IMRI, Institut marocain des relations internationales.
La 5G, cette nouvelle génération de réseau mobile, promet de révolutionner les communications avec des vitesses de connexion ultrarapides, une faible latence et une capacité accrue pour les objets connectés. Fin 2023, la 5G couvrait environ 40% de la population mondiale, selon l’Union internationale des télécommunications. Le Maroc s'engage dans le processus d'installation de ce réseau à l'horizon 2026, dans la perspective de la Coupe du monde 2030. 6 villes pour commencer. Nous sommes avec Salah Baina, expert en stratégie technologique et transformation digitale. On en parle avec Fahd Meski,, vice Pdt. de l'Ausim, Association des utilisateurs des systèmes d'information au Maroc.
Un livre, une histoire, un destin. Celui d'une femme au destin pour le moins singulier. C'est à la fois un être exposé dès sa jeunesse à une forme de dualité. Le Maroc comme pays de naissance et les Etats-Unis comme celui d'adoption. Casablanca pour une dévorante passion et San Diego en Californie pour une douce émotion. Nous avons aussi le ciment impérieux du socle familial et l'irrésistible tentation de l'appel de la liberté. Sans compter le combat pour l'idéale souveraineté du pays bien-aimé sans jamais se détourner des promesses du futur. Et cela se traduit, noir sur blanc, dans les 200 pages de ce livre remarquable: "Bribes de vies et Fulgurances poétiques". Nous avons le grand plaisir de recevoir son auteure, Amina el-Alaoui.
- Faites vos jeux, rien ne va plus. Nous allons plonger dans le monde si particulier des jeux de hasard. Particulier de par son atmosphère chaude et enfumée, par les battements de cœur fortement ressentis et par une description des lieux très inspirée. Tous ces éléments d'ombres et de lumières sont parfaitement décrits dans le film "Quitte ou double" sur les écrans au Maroc depuis mercredi dernier. Nous sommes en présence de la réalisatrice Rachida Saâdi.
Qu'y-a-t-il ce soir à la télévision ? Les programmes nous disent que, en ce 21 Novembre 2024, est célébrée la Journée mondiale de la Télévision. Cette initiative lancée par l'ONU en 1996, sert à rappeler que le petit écran a encore toute sa place dans les sociétés du monde, en dépit de la trop grande présence des réseaux sociaux dans tous les foyers. Et les foyers marocains n'échappent pas au phénomène. Pour en parler, nous sommes avec Driss Aissaoui, analyste politique.
La Journée mondiale de l’enfance, c'est aujourd'hui. Ce qui se traduit par une journée d'action et de sensibilisation pour le tissu associatif. Une journée mondiale pour les enfants et par les enfants. L'Organisation des Nations unies ne manque pas de rappeler à chaque fois que les droits de l’enfant sont des droits humains, non négociables et universels. Pourtant, dans de trop nombreux endroits à travers le monde, ils continuent d’être mal compris et volontairement ignorés, quand ils ne sont pas tout simplement niés et bafoués. Nous sommes au bout du fil avec Catherine Sebti, Pdte. de l'association Noujoum, "Étoiles". Au Maroc, les efforts et les réalisations sont notables mais les disparités persistent. Nous en parlons avec Saida Idrissi, militante pour la défense des droits de l'enfant.
On part du principe que cette internationale non gouvernementale suisse a été fondée en 1986. De grandes réunions se font chaque fin d'été mais des sessions ont lieu également dans plusieurs endroits du monde. A l'image de celle qui nous intéresse ce soir et qui est l'objet de notre rubrique Actualité Monde du mardi. Nous sommes avec Jawad Kerdoudi, Pdt. de l'IMRI, Institut marocain des relations internationales.
Le 7ème Art vu sous le prisme du 21ème Festival international du film de Marrakech en instance d'ouverture officielle le 29 Novembre prochain. Le 7ème Art vu également à travers les pages du dernier livre sur le rôle, la place de Casablanca dans l'imaginaire des cinéastes du monde entier. Et sur ce point, on ne peut que s'intéresser sur l'ouvrage intitulé "CinéCasablanca, la ville blanche en 100 films". Nous devons cette somme de travail Roland Carrée, docteur en Études cinématographiques de l’Université Rennes 2 en France, enseignant en cinéma à l’École Supérieure des Arts Visuels à Marrakech.
La fête du cinéma. Encore quelques jours de patience et le 21ème Festival international du film de Marrakech ouvrira ses portes. Plus d'une semaine de rêves, d'évasion et de magie. D'encouragement aussi et de récompenses. Les stars marocaines et étrangères seront appelées à fouler le tapis rouge du palais des congrès. Les grands noms du 7ème Art ne manqueront pas à ce festival. Ils viendront de tous les coins du monde. Que faut-il aussi attendre de ces grands rendez-vous au niveau de l'industrie cinématographique nationale ? La réponse se trouve chez Idriss el-Qori, chercheur en philosophie et arts visuels.
Des pluies torrentielles en Espagne. Le Sud-est se trouve de nouveau touchée par le phénomène climatique après les intempéries dévastatrices d'il y'a 15 jours. Les inondations qui ont dévasté la région le 29 octobre dernier ont entraîné la mort d'au moins 26 personnes de nationalité étrangère dont 4 ressortissants marocains selon un bilan officiel publié ce matin. "Le pire est passé" affirme l'Agence météorologique espagnole qui a levé son alerte rouge aux intempéries, sans que de nouvelles victimes ne soient signalées. Le Maroc a été l’un des premiers pays à proposer son aide pour la gestion de la catastrophe naturelle avec l'implication d'une équipe de 70 secouristes et 24 véhicules de déblaiements. Nous parlons de ce phénomène Climat avec Mohammed Belouchi, météorologue. Nous sommes aussi avec Mohammed-Said Karrouk, professeur de climatologie à l'université Hassan II de Casablanca, ancien membre du GIEC, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat relevant de l'ONU.
Appel, un de plus, est lancé à la coopération mondiale pour lutter contre les changements climatiques devenus fréquents et meurtriers. Mais les négociations s'avèrent compliquées entre le Nord pollueur et le Sud victime des conséquences. C'est pourquoi les États doivent impérativement s'accorder sur la somme octroyée aux pays en développement à partir de 2025 et sur les crédits carbone. Explications avec Abderrahim Ksiri, Pdt. de l'Association des enseignants des sciences de la vie et de la Terre. Nous en parlons aussi avec Mohammed-Said Karrouk, Professeur de Climatologie à l'Université Hassan II, ancien membre du GIEC, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat relevant de l'ONU.
Le milliardaire républicain a été élu la semaine dernière haut la main, au détriment de son adversaire démocrate, Kamala Harris. Le monde entier en est à s'interroger sur cette réélection, sur la gestion de Donald Trump des grandes crises comme celle entre Palestiniens et Israéliens, entre Russes et Ukrainiens, entre la Chine et Taiwan, entre les 2 Corées, son rapport de force enfin avec l'Union européenne. Nous voyons tout cela avec Jawad Kerdoudi, Pdt. de l'IMRI, Institut marocain des relations internationales.