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Celui de 2025 s'annonce quelque peu différent des précédents dans la mesure où la Direction générale des impôts introduit certaines modifications prévues par la loi de finances 60-24. 3 grands axes s'y articulent comme les règles d'assiette, de recouvrement et des sanctions en matière d'impôt. Il est aussi question de procédures fiscales, de contrôle et de contentieux. Sans oublier la taxe spéciale sur les véhicules et la contribution sociale de solidarité sur les bénéfices et les revenus. Pour en parler, nous sommes avec AbdelAli Boutayba, analyste économique. Tout est détaillé dans cette note, le contenu et leurs dates d'application avec pour objectif de permettre aux contribuables et aux opérateurs publics et privés d'en prendre connaissance pour une meilleure application. La Loi de Finances 2025 fait de la réforme de l’impôt sur le revenu une priorité. Nous sommes avec Zakaria Firano, enseignant chercheur à la Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales de Rabat-Agdal de l'Université Mohammed V Rabat.
Les 2èmes Assises nationales ont pour thème "Les défis d’aujourd’hui et de demain" et les travaux ont été lancés en présence du chef du Gvt. Dans un message adressé aux participants, SM le Roi a insisté sur l'intérêt particulier à accorder à ce chantier stratégique susceptible de consolider la bonne gouvernance territoriale et à le développement socio-économique du Maroc. Pour en parler, nous sommes avec le politologue Driss Aissaoui.
Du nouveau pour les délais de paiement. Des sanctions financières seront décidées à partir du 1er janvier prochain à l'encontre des mauvais payeurs. Les factures non réglées dans un délai de 2 mois seront sanctionnées d'une amende de 2,5% de leur montant pour les sociétés avec un chiffre d'affaires de 2 à 10 millions de DH. Le projet de loi 69.21 fait naître une lueur d’espoir chez les professionnels. Adopté à l’unanimité en janvier 2023 par la chambre des représentants, le texte prévoit des dispositions censées permettre aux fournisseurs de récupérer leurs liquidités plus rapidement. Nous sommes avec Rachid Esseddiq, expert-comptable diplômé.
Une réflexion se devait d'être en effet engagée autour de ce phénomène alors que le Maroc s'apprête à accueillir en 2025 la Coupe d'Afrique des Nations, puis, en 2030, la Coupe du monde de football. On se souvient du nouveau décret, adopté par le Gvt. le 1er février dernier, pour endiguer la violence des Ultras à la veille de la reprise du Championnat du Maroc. A cette initiative, s'ajoute donc ce rapport que l'on doit au Centre d'études en droits humains et démocratie en collaboration avec le Centre pour la gouvernance de la sécurité établi à Genève en Suisse. Nous sommes justement avec le Pdt. de ce Centre d'études, El-Habib Belkouch, Pdt. du Centre d'études en droits humains et démocratie. Avec nous aussi Cécile Lagoutte, chargée des projets au sein du Centre de Genève pour la gouvernance du secteur de la sécurité.
Hier, l'institution financière dressait le bilan trimestriel. Et au regard d'une conjoncture plutôt favorable, il a été décidé de réduire le taux directeur de 25 points de base à 2,5%. C'est la 2ème réduction après celle de juin dernier. Nous sommes avec Omar Kettani, professeur dans l'enseignement supérieur, spécialisé dans la prospection économique et la finance islamique. La décision de Bank al-Maghrib est également motivée par une maîtrise de l'inflation à des niveaux compatibles avec l’objectif de stabiliser les prix. Et elle est dictée aussi par les incertitudes qui persistent toujours sur les perspectives internationales à moyen terme déclare AbdelAli Boutayba, analyste économique.
L'actualité se déplace à Rabat, le temps de la présentation officielle cet après-midi des résultats du 7ème Recensement Général de la Population et de l’Habitat. Tout le long du mois de septembre, l'opération avait été menée par le Haut commissariat au Plan sous forme de grande campagne à travers tout le territoire national. Pour nous donner encore plus d'éclairage à propos des chiffres, nous sommes avec madame Sarab el-Saraf, ingénieure en chef, statisticienne auprès du Haut commissariat au plan.
Réponse, toutes ces questions fondamentales figurent dans le dernier rapport de la Cour des comptes 2023-2024. Le document est sans concession sur la gestion des finances publiques et des ressources stratégiques au Maroc. Entre résilience économique et retards structurels, l'heure est plus que jamais à l'urgence des réformes structurelles. Pour en parler nous sommes avec Zakaria Firano, Enseignant chercheur à la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat-Agdal de l'Université Mohammed V Rabat. Il est question de réformes et de restructuration dans des domaines assez variés comme la préscolarisation, la sécheresse et naturellement la rationalisation des dépenses publiques en ces temps de crises multiformes et universelles. Nous sommes cette fois avec AbdelAli Boutayba, analyste politique.
Une conférence internationale a traité de cette thématique ce matin à Rabat. Son application fait l'objet de suivi et d'évaluation assure le Procureur général du Roi près la Cour de Cassation. Hassan Daki appelle les magistrats à contribuer à la mise en œuvre de la loi publiée au Bulletin officiel du 22 août dernier, et ce, conformément à leur professionnalisme et à leur engagement à accomplir leur devoir constitutionnel. Le Maroc a opté pour cette solution des peines alternatives pour lutter contre la surpopulation carcérale. Le phénomène avait atteint ces dernières années des proportions alarmantes. Actuellement, les quelque 70 établissements pénitentiaires que compte le Royaume reçoivent plus de 100.000 détenus. Nous sommes avec AbdelIlah el-Khadri, Pdt. du Centre marocain des droits de l'Homme. Avec nous aussi, Mouhçin Benzakour, psycho-sociologue.
Le Gvt. ne pouvait qu'être interpellé face à la problématique posée par un taux trop élevé de demandeurs d'emplois, autour de 13-14%. Aziz Akhannouch présidait hier à Rabat une réunion spécialement consacrée aux mesures à prendre pour redresser la situation. Signe qu'il y'a urgence à traiter le problème, l’ensemble des départements ministériels concernés, ainsi que les responsables du HCP, de la CNSS et de l'OFPPT étaient convoqués à cette rencontre. Pour en parler, nous sommes avec Zakaria Firano, enseignant-chercheur à l'université Mohammed V de Rabat. Les secteurs stratégiques, comme la mobilité électrique, les énergies renouvelables ou le dessalement d’eau de mer sont au cœur des priorités. Nous sommes également avec AbdelAli Boutayba, analyste économique.
Pour la première fois, le Maroc votera en faveur d’une résolution de l’ONU sur un moratoire de la peine de mort. Déclaration du ministre de la Justice Abdellatif Ouahbi. Le texte en question est appelé à être adopté lors de l’Assemblée générale des Nations Unies en ce mois de décembre. Et le ministre de la Justice de citer l’article 20 de la Constitution: "le droit à la vie est le premier des droits de tout être humain. La loi protège ce droit". Nous sommes avec el-Habib Belkouch, Pdt. du Centre d'études en droits humains et démocratiques. Ce qui semble être le premier pas vers l'abolition pure et simple, est largement salué. Pour en parler, nous sommes également avec Nouzha Skalli, Fondatrice et coordinatrice du Réseau parlementaire contre la peine de mort.
Le Wali de la région Marrakech-Assfi ordonnait que soient fermés 31 hôtels et maisons d’hôtes pour une période de 3 mois pour violations répétées des règles d'hygiène en vigueur: non-respect des horaires administratives de fermeture, nuisances sonores, commerce illégal de boissons alcoolisées. En plus de la sanction infligée, les responsables des établissements épinglés sont priés de régler les salaires de leurs employés durant la période de cessation des activités. Depuis Marrakech, nous sommes avec Jamal Essaâdi, expert en tourisme. Nous en parlons aussi avec Imad Berrakad, Directeur général de la SMIT, Société Marocaine d'Ingénierie Touristique.
Un message royal était adressé aux participants. Le Souverain a d'ailleurs tenu à rappeler la force de la justice transitionnelle au Maroc. Un modèle construit autour d’un ensemble de considérations depuis l’Indépendance de notre pays jusqu’à la création de l’Instance Équité et Réconciliation le 12 avril 2004. Cet organisme est chargé de faire toute la lumière su les violences commises commises à l’égard d'opposants durant les années de plomb. Nous sommes avec AbdelHakim Chafii, expert en Droits de l'Homme.
Marrakech sous le signe du 7ème Art. La journée de jeudi a été marquée par la 7ème édition des Ateliers de l’Atlas, rendez-vous incontournable du Festival international du film de Marrakech. La fête du cinéma se termine demain. Ce 21ème Festival International du Film de Marrakech avait débuté le 29 novembre dans une ambiance chaleureuse et festive, des stars et des passionnés de cinéma venus du monde entier. De grandes figures marocaines de la caméra se trouvaient dans la ville ocre, à l'image de Noureddine Lakhmari, cinéaste, réalisateur.
Ryad où se trouvait le Chef du Gvt. Aziz Akhannouch représentait SM le Roi au Sommet "One Water", dont les travaux permettent de discuter de la rareté de l'eau à l'échelle mondiale. Les travaux se tiennent en marge de la 16ème Conférence des Parties (la COP16) de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification. L'initiative est menée par l'Arabie saoudite en partenariat avec la France, le Kazakhstan et la Banque mondiale pour débattre de la pénurie des ressources hydriques à travers le monde. Nous sommes avec Abderrahim Ktiri, Pdt. de l'Association des enseignants des sciences de la vie et de la Terre. C'est un "moment décisif" dans le combat contre la sécheresse et l'avancée des déserts a dit le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, présent à ce sommet. Avec nous également Mohammed-Said Karrouk, professeur de climatologie.