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La chasse aux fake-news est ouverte. Le CESE dresse l'état des lieux au Maroc et c'est pour le moins alarmant. Le phénomène est de grande ampleur, semblable à un fort courant d'air depuis une fenêtre grande ouverte. Ca souffle de tous les cotés. Aussi, pour faire face au danger auquel sont exposés, aussi bien les institutions que la société en général, des propositions sont faites à travers 3 grands axes. On en parle avec Mounir Alaoui, Pdt. de la Commission de la société du savoir et de l'information auprès du CESE.
Les bons chiffres sur le front de la lutte contre les accidents de la circulation. Moins de victimes et moins de dégâts, c'est ce qu'il faut retenir de l'intervention, hier, du directeur de la NARSA devant la Commission des infrastructures, de l’énergie, des mines et de l’environnement à la Chambre des représentants.
C'était aujourd'hui en début d'après-midi. Un tremblement de terre de magnitude 5,6 a secoué le Sud-ouest de la Roumanie. La secousse a été ressenti jusqu'à Sofia la capitale et Belgrade Etat voisin. Plus de peur que de dégâts heureusement. Ce qui n'est pas le cas des forts séismes de la semaine dernière en Turquie et en Syrie. Plus de 35.000 morts comme bilan encore global et provisoire. La Terre qui a tendance à beaucoup trembler en cette période, il en sera question avec Mohammed-Jamel Bennouna, expert international en gestion des risques.
A qui profite la situation ? Question posée par nos confrères de la presse écrite sur la hausse continue des prix de nombreux produits de grande consommation. La colère et l'inquiétude s'expriment à l'approche du mois de Ramadan et les intermédiaires sont pointés du doigt. Il est vrai, certaines manipulations observées pèsent lourd sur le pouvoir d’achat. Ce n'est pas Adil Lamnini, le Pdt. de l'Association professionnelle des marques marocaines qui me démentira.
Ce n'est un secret pour personne, le 19 janvier 2023 restera une date marquante, à double portée politique entre le Maroc et l'Union européenne. D'une part, ce jour là, le parlement européens votaient une résolution hostile aux institutions du Maroc. D'autre part, suite aux instructions royales, Rabat mettait fin à la mission diplomatique de son ambassadeur à Paris, Mohammed Benchaâboun. Que faut-il en déduire de cette concomitance de décisions à haute portée politique ? Entre autre question que nous allons poser à Mohammed Chtatou, analyste politique.
Il est question donc de maladies graves que les responsables sanitaires entendent véritablement éradiquer. Pneumonie et autre méningite à l'origine de séquelles, quand ce n'est pas de décès. Ces pathologies font chaque année un nombre important de victimes et le Maroc n'échappe pas non plus hélas à leurs conséquences. Surtout auprès des personnes les plus fragiles. On en parle avec le docteur Ahmed Lahou, pédiatre.
Aussitôt dit, aussitôt fait, les parlementaires marocains concrétisent leurs réactions annoncées le 23 janvier dans le vif du sujet en pleine crise diplomatique entre Rabat et l'Union européenne. La commission thématique ad-hoc créée hier devra réévaluer les relations avec le Parlement européen. Le débat aura été approfondi dit-on quand il a également été décidé de se réunir aujourd'hui même sur les attaques et affirmations formulées par certains groupes parlementaires européens à l’encontre du Maroc. Ce qui nous amène à nous interroger de nouveau sur cette crise avec Zakaria AbouDahab, professeur des relations internationales à l'université Mohammed 5 de Rabat.
L'ambassade du Maroc à Ankara en est à collecter toutes les informations possibles concernant d'éventuelles victimes marocaines des 2 séismes meurtriers d'hier. 7,8 et 7,5 sur l'échelle de Richter. Les données recueillies permettront à la cellule de crise mise en place de communiquer avec les autorités turques dans le cadre de la logistique enclenchée. Le Sud de la Turquie a été fortement touchée, certaines localités ont été rasées. Près de 3.000 immeubles se sont effondrés dans une dizaine de provinces. C'est le tremblement de terre le plus dévastateur, en 200 ans, qu'ait connu la Turquie pourtant régulièrement exposée à ces phénomènes naturels. Pour en parler, nous avons Ali Charoud, spécialiste en géodynamique à l'université Moulay Ismail de Meknès.
L'année 2020 a connu 129.681 greffes d’organes dans le monde.
Au Maroc, 1.200 donneurs potentiels à peine sont inscrits sur le registre du don. Une étude du cabinet Sunergia, publié aujourd'hui par l'Economiste, met en relief, une fois encore, le manque de culture du don d'organes dans la société marocaine. Seuls 41% des personnes interrogées souhaitent donner leurs organes contre 44%. On y apprend aussi que les personnes disposées à le faire sont âgées de 35 à 54 ans et que 70% savent qu'un don d'organes peut être pratiqué après le décès. Ce sera là l'objet de notre entretien avec Amal Bourquia, professeur de néphrologie et Pdte. de l’association «REINS».
.. conséquence, ce constat occupe une place importante dans la stratégie marketing des entreprises. Il devient dès lors nécessaire de comprendre le comportement du consommateur. Qui achète ? qui consomme ? dans quelles conditions ? Explications avec Ouadie Madih, Pdt. de l'Association nationale des consommateurs. Egalement avec nous, Bouazza el-Kherrati, Pdt. de la Fédération marocaine des droits du consommateur.
Moment de recueillement ce matin à Rabat pour le Pdt. du Gvt. espagnol. Pedro Sánchez s'est recueilli sur les tombes des regrettés Souverains Mohammed 5 et Hassan 2. C'était quelques heures avant de présider, aux côtés de son homologue marocain, Aziz Akhannouch, la 12ème réunion de haut niveau Maroc-Espagne. Cette rencontre devrait constituer un nouveau départ vers un partenariat à la hauteur voulue par les dirigeants des 2 pays voisins. On en parle avec Jawad Kerdoudi, Pdt. de l'IMRI, Institut marocain des relations internationales. Egalement avec nous, Jamel Belahrach, Pdt. de La Maison de la diaspora marocaine.
Une réunion de haut niveau pour exorciser les séquelles d'une brouille diplomatique de plusieurs mois. Faire surtout le point sur les progrès accomplis et consolider la feuille de route adoptée en avril dernier par Rabat et Madrid. La volonté politique est là, reste la conformité des actes. Ce qui devrait être fait aujourd'hui et demain à travers le forum de haut niveau à Rabat. Rien de mieux en effet que le volet économique pour aplanir toutes les divergences. Ce que ne devrait pas démentir Aziz Mantrach, vice-Pdt. de l'Asmex et Pdt. du pôle logistique au sein de cette Association marocaine des exportateurs. Et aussi Mehdi Lahlou, professeur en sciences économiques à Rabat.